(Diane Warren/Jean-Jacques Goldman)
Des enfants qui s'Ă©lancent
Une mĂŞme apparence
Des Ă©clats de soleil
Des rayons d'innocence
Avant la prudence
Avant la malchance
Des enfants pareils
Y a-t-il un sort, un signe
Est-ce un doigt qui désigne
Celle ou celui qui va
Renoncer pas Ă pas
Comment, qui sont-ils
Ces gens trop fragiles
Qui ne savent pas
Vivre quand tout lâche, quand tout casse, quand tout clash
Quand tous les blues ont sali ta raison, ta maison, tes saisons
Quand tout est sombre, plus rien n'est doux
J'ai peur de tout
Si ma vie je l'invente
Légère et insouciante
Je les croise au hasard
Dans les rues dans les bars
Fatigues, dociles
Ailleurs immobiles
Je ressens tout ca, tout ce froid
Cette intime fracture
Cette lézarde au mur
Je la sais, elle est lĂ
Toujours au fond de moi
Et parfois je coule
Comme une pierre qui roule
Qui roule si bas
Si bas... quand tout lâche, quand tout casse, quand tout clash
Quand tous les blues ont sali ta raison, ta maison, tes saisons
Quand tout est sombre, plus rien n'est doux
Quand j'ai peur de tout
Si j'avais pu m'enfermer dans tes bras
M'enfermer, me protéger
Mais oĂą es-tu dans ces moments la
Qui pourrait m'apaiser ? Oh...
Vivre quand tout lâche, quand tout casse, quand tout clash
Quand tous les blues ont sali ta raison, ta maison, tes saisons
Quand tout est sombre, plus rien n'est doux
J'ai peur de tout
J'ai peur de tout, si peur de tout, si peur de...
Tous les blues ont sali ta raison, ta maison, tes saisons
Quand tout est sombre, plus rien n'est doux
Et parfois quand je coule, comme une pierre qui roule
J'ai peur de tout
J'ai peur de tout
J'ai peur de tout