Les brûlures de la vie vous marquent au fer
Vous font croire Ă l'enfer jusqu'Ă perdre la flamme
L'amour peut aller jusqu'à défaire
Ce qu'il avait bâtit de ses larmes
Et l'incendie qui détruit les archives
Fait s'effacer le passé en nous tout à fait
On ne voit plus une seule âme qui vive, un coeur à réchauffer
Et sans plus attendre du chaud, du tendre...
Fais moi danser sur les cendres
Dis moi de me rendre sans me défendre...
En plein décembre... Nos coeurs se fendent...
À se répendre... Sur les cendres...
J'ai vu les feux éphémères des passions
Qu'on sacrifie sur le bûcher des vanités
J'ai vu se calciner les Ă©motions
Et ne mĂŞme plus chanter
Et sans plus attendre du chaud, du tendre...
Fais moi danser sur les cendres
Dis moi de me rendre sans me défendre...
En plein décembre...
Nos coeurs se fendre à se répendre...
Nos coeurs se fendre à se répendre...
Près de toi viendra l'envers de l'oubli...
Tu es mon printemps au coeur de l'hiver, ma survie...
Et sans plus attendre du chaud, du tendre...
Fais moi danser sur les cendres
Dis moi de me rendre sans me défendre...
En plein décembre...
Et sans plus attendre du chaud, du tendre...
Fais moi danser sur les cendres
Dis moi de me rendre sans me défendre...
En plein décembre... Nos coeurs se fendent...
À se répendre... Sur les cendres...
Sans plus attendre dis moi de me rendre...
Sans me défendre dis moi de me rendre...
Sans plus attendre...
Sur les cendres...
Sur les cendres...
Dis moi de me rendre...
Sur les cendres...